Ah le mois de Septembre, son été
indien (en théorie) et la fameuse rentrée qui fait courir tout le monde et
surtout les parents. Pas de reprise pour moi cette année, mais plutôt que de
passer trop de temps devant la télé (Netflix c’est le mal) j’essaie d’écouter
un peu de musique. C’est vrai quoi, ça détend, ça donne la pêche la musique. J’ai
donc tout le loisir de profiter des douces (ou pas, mais on y reviendra)
sonorités de mes artistes préférés. Et comme il n’y a pas de hasard Septembre
arrive avec son lot de nouveautés musicales. Entre celles qui étaient attendues
et les découvertes petit point sur les sons qui m’ont fait vibrer ce mois-ci.
PVRIS – « All
We Know of Heaven, All We Need of Hell »
Pas évident de
réitérer la performance après un premier album « White Noise » plutôt
réussi avec moult tubes en puissance. Bien qu’un peu en dessous de leur
première mouture j’avoue que la voix de Lynn a une nouvelle fois fait son
office. C’est construit et cohérent bien qu’un peu répétitif mais cela n’empêche
pas le plaisir de l’écoute.
· - Heaven
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- What’s wrong
MYRKUR – « Mareridt »
Changement de décor avec cette
belle découverte du Hellfest 2016. Si je devais définir en un seul mot le
projet MYRKUR je dirais inclassable. L’univers est tout à la fois sombre et
lumineux, brutal et doux. Pour moi ce nouvel album est un peu comme un conte
onirique, horrifique. On s’y plonge avec délectation.
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Mareridt
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The Serpent
ARCHITECT – « … »
Doomsday
JESSIE WARE – « … »
Retour à un peu de douceur avec
cette artiste que j’aime particulièrement. Voix suave et sonorités d’antan avec
la pointe de modernité nécessaire pas besoin de plus pour annoncer un prochain
album aux multiples facettes. En attendant on se contente des trois singles
sortis et on se régale d’avance.
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Selfish love
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Midnight
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Alone
THIRTY SECOND TO MARS – « … »
Après vérification le dernier
album du groupe remonte à 2013. Après quatre ans d’absence le groupe des frères
Leto ressort de l’ombre. Pour le meilleur ou pour le pire cela reste à définir.
Car bien qu’entêtant et a priori engagé (l’Amérique de Trump source
inépuisable) je n’ose me réjouir à l’avance. Le morceau bien qu’efficace reste assez
convenu dans sa construction.
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Walk on water
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